Biographie
Éléonore Moine est née en région parisienne en 1967 et est très vite est animée par trois passions qui vont diriger sa vie : la nature, les arts et les animaux.
Trois passions qui trouveront réalisation : pour les arts, à travers la céramique, le dessin, la musique, le spectacle équestre, la danse, la sculpture, les fibres et la teinture puis la vidéo et la réalisation de documentaires.
Pour la nature, le départ de Paris, très jeune, pour la campagne permet de combler les recherches et études sur les plantes médicinales, la flore et la faune sauvage.
Pour les animaux, l’élevage et le dressage de chevaux et l’élevage de brebis au titre professionnel permettent de combler cet amour des animaux. De très grandes randonnées à cheval à travers la France rendront la nature intime et proche.
C’est donc naturellement qu’est venue l’idée d’utiliser la laine des brebis et des chèvres et de la teindre aussi.
Ainsi dans cette activité toutes les passions se réunissaient.
Diverses rencontres viennent renforcer les travaux : les recherches archéologiques d’une association « les Gaulois d’Esse » font naître l’envie de retrouver les techniques des anciens, la rencontre avec un professeur de chimie offrira des bases importantes de compréhension des divers phénomènes biochimiques et chimiques, les réactions d’oxydoréduction, les rapports acide base et les différents micro organismes.
L’étude d’auteurs, parfois très anciens, alchimistes pour certains, chimistes teinturiers pour d’autres, tantôt dans un aspect ésotérique plongeant dans les racines de l’humanité et tantôt dans un aspect purement scientifique, viendront s’additionner à une recherche en cours sur les matières tinctoriales et contribueront à ressentir la teinture comme véritablement un art à part entière.
Mais c’est aussi l’expérimentation quotidienne qui fera avancer le travail, les échecs comme les réussites apportant leurs résultats et leurs déboires, les deux étant constructifs.
Parfois de véritables découvertes, obtenues le plus souvent par hasard, encouragent l’avancée.
Les bains tinctoriaux sont alors perçus comme des organismes recevant une vie particulière à chacun, possédant leurs réactions propres, demandant alimentations diverses, oxygène ou non, mettant divers éléments en contact et attendant que la nature y réalise son œuvre et offre enfin ses couleurs.
Toutes ces couleurs végétales serviront pour les créations artistiques et artisanales en laine, mohair, alpaga, mais les colorants alimentaires sont utilisés également offrant d'autres ambiances. Toutes les techniques de travail de laine seront utilisées, voir mélangées, le filage, le tricot,le tissage, le feutrage... toujours en recherche de nouvelles formes, nouvelles textures, nouvelles utilisations et autres usages. Des techniques innovantes sont parfois découvertes pour faciliter et améliorer le travail.
Éléonore Moine est née en région parisienne en 1967 et est très vite est animée par trois passions qui vont diriger sa vie : la nature, les arts et les animaux.
Trois passions qui trouveront réalisation : pour les arts, à travers la céramique, le dessin, la musique, le spectacle équestre, la danse, la sculpture, les fibres et la teinture puis la vidéo et la réalisation de documentaires.
Pour la nature, le départ de Paris, très jeune, pour la campagne permet de combler les recherches et études sur les plantes médicinales, la flore et la faune sauvage.
Pour les animaux, l’élevage et le dressage de chevaux et l’élevage de brebis au titre professionnel permettent de combler cet amour des animaux. De très grandes randonnées à cheval à travers la France rendront la nature intime et proche.
C’est donc naturellement qu’est venue l’idée d’utiliser la laine des brebis et des chèvres et de la teindre aussi.
Ainsi dans cette activité toutes les passions se réunissaient.
Diverses rencontres viennent renforcer les travaux : les recherches archéologiques d’une association « les Gaulois d’Esse » font naître l’envie de retrouver les techniques des anciens, la rencontre avec un professeur de chimie offrira des bases importantes de compréhension des divers phénomènes biochimiques et chimiques, les réactions d’oxydoréduction, les rapports acide base et les différents micro organismes.
L’étude d’auteurs, parfois très anciens, alchimistes pour certains, chimistes teinturiers pour d’autres, tantôt dans un aspect ésotérique plongeant dans les racines de l’humanité et tantôt dans un aspect purement scientifique, viendront s’additionner à une recherche en cours sur les matières tinctoriales et contribueront à ressentir la teinture comme véritablement un art à part entière.
Mais c’est aussi l’expérimentation quotidienne qui fera avancer le travail, les échecs comme les réussites apportant leurs résultats et leurs déboires, les deux étant constructifs.
Parfois de véritables découvertes, obtenues le plus souvent par hasard, encouragent l’avancée.
Les bains tinctoriaux sont alors perçus comme des organismes recevant une vie particulière à chacun, possédant leurs réactions propres, demandant alimentations diverses, oxygène ou non, mettant divers éléments en contact et attendant que la nature y réalise son œuvre et offre enfin ses couleurs.
Toutes ces couleurs végétales serviront pour les créations artistiques et artisanales en laine, mohair, alpaga, mais les colorants alimentaires sont utilisés également offrant d'autres ambiances. Toutes les techniques de travail de laine seront utilisées, voir mélangées, le filage, le tricot,le tissage, le feutrage... toujours en recherche de nouvelles formes, nouvelles textures, nouvelles utilisations et autres usages. Des techniques innovantes sont parfois découvertes pour faciliter et améliorer le travail.